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8 avril 2008 2 08 /04 /avril /2008 14:39

LE SYNDICAT C.G.T.
APPELLE L'ENSEMBLE
 DES PERSONNELS


A UN DEBRAYAGE AFIN

DE PARTICIPER MASSIVEMENT
A LA MANIFESTATION
DE LA PREFECTURE DE REGION AU MEDEF NATIONAL


 LE MERCREDI 16 AVRIL 2008
    POUR NOTRE POUVOIR D'ACHAT, LE SALAIRE ET NOS RETRAITES;

Départ en car à 13 heures devant la Mairie.

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7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 19:49
La mobilisation se poursuit ! Tous en grève le jeudi 10 avril : Personnels, lycéens, parents,agissons ensemble jusqu’à satisfaction de nos revendications

CGT-Educ’Action Ile-de-France La mobilisation se poursuit Personnels, lycéens, parents, agissons ensemble Jusqu’à satisfaction de nos revendications Tous en grève le jeudi 10 avril
Darcos a beau vouloir traiter la mobilisation qui se développe par l’insulte en parlant « d’ignorants » à propos de tous les lycéens, ou par une posture de fermeté et l’ignorance en annonçant qu’il ne reviendra pas sur les 11 2000 suppressions de poste au niveau national : (...)

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:06
29 Mars 2008 |

Retraites
80 000 partout en France
Un bon début!

tete manif 2 29 mars 2008.jpg
Les manifestations à l'appel de la CGT, de la FSU, de Solidaires et de l’Unef pour l'avenir des retraites ont réuni samedi 80 000 personnes dans 115 rassemblements et manifestations, partout en France. "C'est une mise en jambes, une initiative indispensable pour que le débat soit public dans le pays", a indiqué à la presse le secrétaire général de la CGT en tête de la manifestation parisienne. A Paris, entre Nation et Bastille on a compté 13 000 participants au cortège. On a enregistré des participations très significatives dans certaines villes comme Bordeaux (2000), Clermont Ferrand (800), Chalons sur Saône (1000), Brest (1500), Rennes (2000), Orléans (1250), Montpellier (1000), Nîmes (1000), Limoges (2000), Tarbes (900), Lille (1500), Caen (1000), Le Mans (6000), Marseille (10000), Toulon (1000), Saint-Etienne (1200), Roanne (800), Lyon (5000).  Lire le document Lire la suite
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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 18:28
POUR INFO:

Manifestation du samedi 29 mars
départ en car à 13h30 devant la mairie
Trajet Nation-Bastille
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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 19:42
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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 19:13
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LES RETRAITES DE DEMAIN

DEPENDENT DES SALAIRES D’AUJOURDH’HUI !

L’enjeu des retraites est indissociable de celui des salaires !

 

L’année 2008 sera décisive pour l’avenir de nos retraites. Sur demande du Président de la République, le Gouvernement veut aller vite, faire l’impasse     sur les négociations et présenter une nouvelle loi avant l’été.

De par leur obstination à ne pas répondre aux légitimes revendications des salariés en matière d’augmentation des salaires, Gouvernement et patronat, non contents d’amputer encore plus le pouvoir d’achat des actifs et retraités, limitent le financement de la protection sociale.

Les recettes alimentant nos régimes de protection sociale, dont notre système de retraite par répartition, sont bien issues des richesses du travail crées par les salariés. De fait, le montant du salaire est un élément déterminant dans le financement des retraites.

Les réformes aussi bien de 1993 que de 2003, ont  imposé à l’ensemble des salariés du privé comme du public des sacrifices sans précédent, qui de plus n’ont pas réglé les problèmes financiers du régime général.

 

UN DROIT A LA RETRAITE À 60 ANS…………..AVEC 75% DU SALAIRE

Le gouvernement, appuyé par le MEDEF, a d’ores et déjà annoncé sa volonté de poursuivre dans le sens des décisions prises en 2003, à travers l’allongement à 41 ans de la durée de cotisations pour une retraite à taux plein, d’ici 2012, puis 42 ans…Or, déjà 20% des hommes et 50% des femmes n’ont pas les 40 années exigées pour prétendre à une retraite à taux plein.

Le niveau des pensions a fortement reculé ces dernières années. De 1987 à 2007, les pensions du régime général ont décroché de 20% par rapport au salaire moyen d’activité, rendant impossible un départ en retraite à 60 ans, à moins d’accepter une baisse drastique du montant de la pension, obligeant les salariés qui en ont les moyens financiers de se constituer une épargne par capitalisation et pour la grande majorité de vivre sa retraite dans la précarité et la misère, ou alors de cumuler retraite-emploi !

 

La CGT revendique :

·         Le droit à la retraite à 60 ans (socle commun)

·         Un taux de remplacement d’au moins 75% du salaire, régimes indemnitaires intégrés, des 6 derniers mois activité, avec un minimum équivalent au SMIC

·         L’indexation des pensions sur les salaires

·         La suppression de la décote

·         Le rétablissement de la bonification pour enfant

 

 

UN DROIT AU DéPART ANTICIPE

L’espérance de vie à la retraite en bonne santé est le principal critère d’équité entre salariés.

La CGT revendique :

·         Un droit au départ à la retraite pour les salariés exerçant des travaux pénibles, insalubres ou dangereux,

·         La reconnaissance par la CNRCAL  de nouveaux emplois et missions, pour la détermination de la catégorie active.

UN FINANCEMENT SOLIDAIRE DES RETRAITES

En 15 ans, le nombre des retraités aura augmenté de 6 millions. Le besoin de financement supplémentaire, tous régimes confondus sera de 1% du PIB en 2020 et de 1,7% en 2050. Cela n’est pas hors de portée de notre économie : le développement de l’emploi de qualité peut fournir 40% de ressources supplémentaires. Créer 700.00 emplois apporte 0,5 point de PIB au financement de la retraite. La suppression de toutes les exonérations de cotisations sociales employeurs et la mise en cause des « niches sociales » peuvent procurer 10% des besoins de financements des régimes de retraite. De même, la réforme du mode de calcul des employeurs produirait des recettes supplémentaires.

 

La CGT revendique :

 

·         Un salaire minimum à 1.500 euros

·         L’augmentation de la valeur du point d’indice

·         Une véritable refonte de la grille indiciaire, la reconnaissance des qualifications

·         L’intégration des primes dans le salaire

·         Une loi de titularisation des agents non titulaires assistant(e) s familiaux et maternel (elle) s

·         Le passage à temps complet des agents à temps partiel imposé

·         Le remboursement des sommes prélevées sur le budget de la CNRCAL, au titre de la surcompensation

·         Une réforme des mécanismes de compensation

·         Une extinction du régime additionnel de la Fonction Publique, avec l’intégration du régime indemnitaire dans le traitement indiciaire

·         La création d’emplois statutaires permettant de répondre aux besoins en matière de services publics, sur l’ensemble du territoire

 

La fédération CGT des services publics appelle les salariés du public comme du privé, actifs ou retraités à se mobiliser le samedi 29 mars, à l’occasion de la journée d’action interprofessionnelle « pour l’avenir des retraites ».

 

Face à la précipitation du Gouvernement pas de temps à perdre !

Le 29 mars

Public, privé, toutes et tous ensembles dans la rue

pour nos retraites et nos salaires !

 

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17 mars 2008 1 17 /03 /mars /2008 09:54
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Une assemblée des syndiqués est prévue

le mardi 25/03/2008 de 8h30 à 10h30


salle des mariages sur :

   - les salaires (consultation)

   - manifestations du 29/03/2008 à l'appel de la CGT


- Elections Professionnelles

   -  et le congrès Départemental  les 16/17/18 avril 2008

 

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6 mars 2008 4 06 /03 /mars /2008 22:40

Fédérations de la Fonction publique

 

UGFF  Services publics  Santé et action sociale  undefinedFAPT

 

 Montreuil, le 26 février 2008

 

Salaires :

la poursuite de la mobilisation s’impose !

 

 


Les puissantes journées d’action des agents de la Fonction publique les 18 octobre, 20 novembre 2007 et 24 janvier 2008, ainsi que les multiples grèves qui se développent dans le secteur privé autour des négociations annuelles obligatoires portent fortement la revendication d’une augmentation conséquente des salaires et rémunérations. Dans le même temps, ce mouvement est largement soutenu par une grande majorité de la population.

 

UNE NEGOCIATION FOURRE-TOUT

 

Au départ : l’exigence du maintien du pouvoir d’achat par la valeur du point, accompagné de mesures de rattrapage des pertes constatées depuis 2000.

 

A l’arrivée : un volet sur la valeur du point d’indice avec une augmentation de 0,8% (0,5% au 1er mars + 0,3% au 1er octobre), loin de combler la perte du pouvoir d’achat des fonctionnaires et agents publics qui s’établit au environs de 7% depuis 2000.

 

Le gouvernement y ajoute cinq autres volets qui, pour la CGT, n’ont pas tous vocation à être intégrés dans une négociation salariale. Ils comportent des points positifs, d’autres qui suscitent des réserves, voire de francs désaccords.

 

Volet méthodologique

 

Si le principe de négociations annuelles que revendique la CGT est acté, il est inclus dans un dispositif plus large de négociations triennales qui risquent d’enfermer les débats dans une enveloppe préétablie.

 

Le gouvernement entend financer une part de l’augmentation salariale consentie « en s’appuyant notamment sur le retour, à hauteur de 50% des gains de productivité du service public ». Le gouvernement organise donc « un troc » salaire contre emplois. Et cela s’entend aussi bien pour la Fonction publique d’Etat, que pour la Territoriale et l’Hospitalière. La CGT rejette ces choix gouvernementaux qui consistent à altérer la qualité des services publics, voire à supprimer des missions. Au bout du compte, ce sont les usagers et les agents qui supporteront les conséquences de ces orientations. Plutôt que de conforter des intérêts de quelques privilégiés avec le bouclier fiscal par exemple, le gouvernement doit faire le choix de l’intérêt général.

 

Volet « garantie individuelle du pouvoir d’achat » (GIPA)

 

Mécanisme basé sur la comparaison, au bout de quatre années consécutives, entre l’évolution du traitement indiciaire brut et l’évolution de l’inflation, il aura une première mise en œuvre en 2008 pour la période courant du 31 décembre 2003 au 31 décembre 2007.

 

La mise en place de ce mécanisme a au moins un mérite : la reconnaissance, par le gouvernement, de l’état désastreux des rémunérations des fonctionnaires, le déclassement et la smicardisation de la grille indiciaire, ce que la CGT ne cesse d’expliquer et dénoncer depuis des années.

 Cependant, la garantie individuelle du pouvoir d'achat (GIPA) est un leurre. Non seulement elle ne concerne qu’une partie des agents -moins d’un tiers-, mais elle est versée en une seule fois, sous forme de prime et ne compense pas intégralement les pertes subies par les intéressés. 

 

Volet carrières et indemnités

 

Le gouvernement n’a rien lâché d’autre que des intentions. Certaines résultent de la pression syndicale, notamment de la CGT, comme celle de « reconstruire complètement les grilles indiciaires » ou faire un bilan de l’application du ratio promus / promouvables.

Mais, les enjeux sont bien ceux du contenu et du sens à donner à ces réformes.

 

Or, ce volet est celui qui a été le plus modifié lors des tractations d’après négociations. La philosophie du « mérite » y a été réintroduite ainsi que les gains de productivité attendus et la logique de reconnaissance des métiers. En outre, une « annexe » prévoit une réorientation de la politique indemnitaire fondée sur le développement de cette partie de la rémunération avec l’intéressement individuel et/ou collectif. On est donc bien dans la logique d’un gouvernement libéral. Ces mesures ne peuvent que mettre en concurrence les agents entre eux et, par extension, les ministères, les établissements hospitaliers, les collectivités locales, les territoires…

La CGT, pour sa part, a rappelé sa revendication d’intégration des primes servant de complément salarial dans les traitements et son opposition à la gestion des éléments constitutifs du pouvoir d’achat sur la base de critères de pseudo performance.

 

Volet Compte Epargne Temps (CET)

 

Pour l’avenir, le gouvernement veut mettre en place trois possibilités de « consommation » des CET : soit par récupération en temps (congés), soit en épargne retraite par conversion en points dans le régime additionnel (RAFP), soit par monétisation.

 

La CGT a exprimé son opposition à l’utilisation des CET comme instrument de gestion du sous-emploi, son opposition de principe à la monétisation sur le long terme et, plus encore, à sa conversion en points d’épargne retraite.

Dans le même temps, elle a réclamé que pour la partie actuellement monétisée – il en est de même pour les heures supplémentaires – celle-ci s’effectue au moins sur la base du temps hebdomadaire de travail de 35 heures et non pas sur celle de 39 heures.

 

Volet politique sociale

 

Pour la CGT, les revendications sociales doivent faire l’objet de négociations spécifiques.

 

 

LA CGT NE SIGNE PAS…

 

Dans ces conditions, et après avoir pris le temps de la consultation, la CGT a décidé de ne signer aucun des volets proposés par le Gouvernement.

 

Elle déplore les tractations qui se sont déroulées après la négociation officielle du 18 février, et auxquelles ont accepté de se prêter des organisations syndicales. Le dialogue social et ses garanties doivent être préservés. C’est un gage de la démocratie. De même, l’exclusion des organisations syndicales non signataires des comités de suivi pour certains des volets ne présage pas d’un véritable respect d’un pluralisme syndical, porté par les représentants des personnels.

 

…ET APPELLE A DE NOUVELLES MOBILISATIONS

 

Pour la CGT, le dossier n’est pas clos ! Elle appelle les personnels, les usagers, à poursuivre leur mobilisation pour la défense des services publics, de leurs missions, avec des effectifs en nombre suffisant, des salaires et pensions revalorisés.

Elle informera très prochainement des initiatives qu’elle proposera.

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6 mars 2008 4 06 /03 /mars /2008 22:03

cgt-service-publique.jpgCommuniqué des organisations CGT de la Fonction publique

(UGFF – SANTE – FAPT – SERVICES PUBLICS)

 

 

 

 

POUR LA CGT

LE COMPTE N’Y EST TOUJOURS PAS !

 

 

 

 

Après les fortes journées de grève unitaires et au bout de nombreuses heures de négociations dans la nuit du 18 au 19 février, pour la CGT, les principales revendications ne sont toujours pas satisfaites.

 

Certes, après l’avoir écartée durant des mois, les Ministres en charge de la Fonction publique ont été contraints d’accepter une augmentation de la valeur du point. Certes encore, une mesure dite « de garantie du pouvoir d’achat » va être mise en œuvre pour plusieurs centaines de milliers d’agents – des 3 versants de la Fonction publique – qui tournera en moyenne autour de 700 euros. Certes enfin, la reconstruction de la grille indiciaire est désormais à l’ordre du jour.

 

Mais, la revalorisation de la valeur du point – 0,5% au 1er mars et 0,3% au 1er octobre – est notoirement insuffisante et n’assure pas le maintien du pouvoir d’achat pour tous en 2008. La « garantie » s’effectuerait par le biais d’une mesure indemnitaire et n’apporterait donc pas de solution pérenne.

 

En ce qui concerne les autres volets – qui n’avaient pas tous vocation à être intégrés dans une négociation salariale – des points positifs existent, d’autres suscitent des réserves, voire de francs désaccords.

 

Au total, pour la CGT, le compte n’y est toujours pas.

 

Cependant, notre organisation syndicale veut, sur un sujet aussi important, prendre le temps de la consultation de ses syndicats, des militantes et militants, et des personnels avant de donner son avis définitif sur le relevé de décisions.

 

En tout état de cause, la page des salaires et de la grille indiciaire n’est pas close avec la séance d’hier soir.

 

Par tous les moyens, nous continuerons à porter nos exigences, en particulier lors des prochaines négociations prévues au début du printemps.

 

Montreuil, le 19 février 2008

5H15

 

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28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 22:52
journée d'étude 27 mars 2008
                                                         
Champigny le 25/02/2008

 

Aux Camarades syndiqués (es)

 

Chers(es) Camarades,

Le 5 avril dernier s’est  tenue  une journée d’étude sur la vie syndicale. Lors de cette journée des décisions ont été prises.
Pour diverses raisons, à ce jour, nous n’avons pu les mettre  en  place.
La direction du syndicat vous propose une nouvelle rencontre le :

Le jeudi 27 mars 2008

De 8h30 à 18h00

Salle R.ROUSSEAU

Nous profiterons de cette journée pour faire un premier point le matin, des décisions prises sur l’organisation de notre vie syndicale, et ,l’après-midi  sera consacrée à leurs mises en place.
Nous avons prévu de vous offrir le repas du midi.
Nous avons besoin de connaître le nombre de participants à cette journée et nous vous demandons de bien vouloir nous renvoyer  par  retour du courrier votre participation.

A bientôt

Pour le syndicat

Françoise LAFEUILLE

 

 

NOM……………...PRENOM……………......SERVICE………

 

JE PARTICIPERAI A LA JOURNEE D'ETUDE DU 27/03/08

         OUI                                               NON

 

JE M’INSCRIS POUR LE REPAS

        OUI                                                NON   

 

 

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